Adolescente, j’adorais la fast fashion. Aujourd’hui, j’en fais mon combat.

Adolescente, j’adorais la fast fashion. Aujourd’hui, j’en fais mon combat.

De mes 12 à 18 ans, j’étais comme beaucoup d’ados : fan de fast fashion ! H&M, Zara, Forever 21, Primark, Topshop (RIP)…

Mon plus grand plaisir ? Passer des après-midi entiers dans les centres commerciaux à chasser des fringues tendances et pas chères. C'était presque ritualisé : une sortie entre copines ? Direction le "mall", jamais une rando ou un pique-nique. 🛍️


Avec ma sœur, on avait même créé notre propre jeu : un “Monopoly shopping” , avec nos enseignes préférées à la place des rues et des centres commerciaux à la place des gares (oui, photo d’archive à l’appui, une pépite ).


Aujourd’hui, ironie du sort : le combat de ma vie, c’est la fast fashion. 🚫

Je déteste les centres commerciaux, et mes sorties entre amies se font en pleine nature ou autour d’activités créatives : couture, crochet, upcycling… bref, tout l’inverse.


Et ça me fait réfléchir...


👗 Comment pourrait-on décentrer la surconsommation vestimentaire chez les ados ?

💡 Et si les “rendez-vous entre copines” se faisaient ailleurs que dans des temples du shopping ? Dans des ateliers créatifs, des fablabs textiles, des espaces de seconde main ?

🌿 Et si, dès cet âge, on ouvrait les yeux sur les impacts sociaux et environnementaux cachés derrière chaque étiquette ?


Comment pouvons-nous changer nos habitudes culturelles quand l'ultra-capitalisme prend le dessus sur tout ?


En attendant, si je recréais ce Monopoly, mais avec uniquement des marques responsables et slow fashion ? Qui y figurerait ?


Dites-moi en commentaires : quelles marques mériteraient une case dans cette version éthique !

PS : Oui oui, j’avais bien mis Abercrombie & Hollister sur les cases les plus chères, devant les marques de luxe… Ça en dit long sur les années 2010 ! 😄

Back to blog